JEUDI
Isshhhhhh, ce fut toute une journée.
On commence la journée avec 2 cours. Pour me faciliter la vie, j'ai pris une nouvelle résolution à cette session; pas de bière entre mes 2 cours. C'est qu'à la dernière session, le prof du cours du matin, finissait toujours le cours 30 minutes avant la fin, cà me donnait donc 2H pour dîner. Disons que je n'étais pas des plus attentif au cours de l'après-midi, pas toujours facile après 2-3 pintes; c'était même rendu qu'il m'arrivait d'amener une bière, que je transportais dans un gobelet de café, direct dans le cours. À cette session, je vais toujours dîner au resto avec les potes, mais je bois de l'eau et j'amène toujours un gobelet de café dans le cours, mais cette fois, c'est vraiment du café qu'il contient.
On a passé au travers des 2 cours, pas une minute à perdre, c'est la saison du hockey cosom qui commence, même pas le temps de souper, vive les boosts. Je savais qu'on était pas fort, nous n'avons pas recruté du monde pour leur talent, mais du monde qui veulent participer à la compétition universitaire (de 600 à 1000 étudiants de partout au Canada, environ 10 sports, 2 cas académiques et quelques compétitions sociales, mais surtout 4 soirs de party et beaucoup de boisson) du mois de janvier à London (Ontario, oui, oui, je sais, il faut ce qu'il faut), mais je pensais jamais qu'on serait si pourri. J'avais dit au gars de nous inscrire dans les débutants, ce qu'il a fait. J'arrive là, première équipe, c'est clair qu'ils n'étaient pas classés à la bonne place, trop fort; pas trop grave, ils vont être "upgradés" la semaine prochaine, mais c'est quand même dure pour le morale. Deuxième équipe, oufff, on est pas mal plus de calibre, mais oh, quelle déception; notre goaler est une passoire, moi qui pensais que c'était notre arme secrète. En effet, quand on a envoyé le email aux étudiants du Bac., c'est le premier qui a répondu, il est grand et gros, il a joué dans une ligue et il possède son propre équipement de goaler de cosom (on a su après que cà fait 6 ans de cà et qu'il était pas mal plus en forme à l'époque). Bref, une autre déception, une chance que notre but ce n'est pas de gagner la coupe, mais bien de créer une chimie parmis les étudiants du Bac; d'ailleurs il y a aussi une équipe de soccer. Les autres universités n'ont qu'à bien se tenir, cette année on va arriver préparé, pas comme l'année passée où on avait eu aucune pratique, n'importe qui faisait n'importe quel sport, cà c'est quand ils se levaient le matin.
La game est finie, dircetion le bistro, pinte à 3$ et pichet à 10$ (je sais, cà revient moins cher à la pinte, mais que voulez-vous, ce n'est pas moi qui fait les prix). Cà de l'air que le concept de la bière après le match n'était pas évident pour tout le monde, mais j'ai réussi à tous les convaincre, même les 2 filles de l'équipe. Qui dit 2 filles, dit jeu de drague et je dois dire qu'un de mes compatriotes travaillait pas mal fort dans les coins, pas mal plus fort que pendant la partie. Pauvre fille, elle ne savait plus quoi faire; surtout qu'il insistait pour qu'ils prennent le métro ensemble (même ligne, mais pas le même arrêt). C'est là que je suis arrivé à la rescousse, je vais aller vous porter, oubliez le métro. Je sais, je sais, quelle âme charitable.
On commence la journée avec 2 cours. Pour me faciliter la vie, j'ai pris une nouvelle résolution à cette session; pas de bière entre mes 2 cours. C'est qu'à la dernière session, le prof du cours du matin, finissait toujours le cours 30 minutes avant la fin, cà me donnait donc 2H pour dîner. Disons que je n'étais pas des plus attentif au cours de l'après-midi, pas toujours facile après 2-3 pintes; c'était même rendu qu'il m'arrivait d'amener une bière, que je transportais dans un gobelet de café, direct dans le cours. À cette session, je vais toujours dîner au resto avec les potes, mais je bois de l'eau et j'amène toujours un gobelet de café dans le cours, mais cette fois, c'est vraiment du café qu'il contient.
On a passé au travers des 2 cours, pas une minute à perdre, c'est la saison du hockey cosom qui commence, même pas le temps de souper, vive les boosts. Je savais qu'on était pas fort, nous n'avons pas recruté du monde pour leur talent, mais du monde qui veulent participer à la compétition universitaire (de 600 à 1000 étudiants de partout au Canada, environ 10 sports, 2 cas académiques et quelques compétitions sociales, mais surtout 4 soirs de party et beaucoup de boisson) du mois de janvier à London (Ontario, oui, oui, je sais, il faut ce qu'il faut), mais je pensais jamais qu'on serait si pourri. J'avais dit au gars de nous inscrire dans les débutants, ce qu'il a fait. J'arrive là, première équipe, c'est clair qu'ils n'étaient pas classés à la bonne place, trop fort; pas trop grave, ils vont être "upgradés" la semaine prochaine, mais c'est quand même dure pour le morale. Deuxième équipe, oufff, on est pas mal plus de calibre, mais oh, quelle déception; notre goaler est une passoire, moi qui pensais que c'était notre arme secrète. En effet, quand on a envoyé le email aux étudiants du Bac., c'est le premier qui a répondu, il est grand et gros, il a joué dans une ligue et il possède son propre équipement de goaler de cosom (on a su après que cà fait 6 ans de cà et qu'il était pas mal plus en forme à l'époque). Bref, une autre déception, une chance que notre but ce n'est pas de gagner la coupe, mais bien de créer une chimie parmis les étudiants du Bac; d'ailleurs il y a aussi une équipe de soccer. Les autres universités n'ont qu'à bien se tenir, cette année on va arriver préparé, pas comme l'année passée où on avait eu aucune pratique, n'importe qui faisait n'importe quel sport, cà c'est quand ils se levaient le matin.
La game est finie, dircetion le bistro, pinte à 3$ et pichet à 10$ (je sais, cà revient moins cher à la pinte, mais que voulez-vous, ce n'est pas moi qui fait les prix). Cà de l'air que le concept de la bière après le match n'était pas évident pour tout le monde, mais j'ai réussi à tous les convaincre, même les 2 filles de l'équipe. Qui dit 2 filles, dit jeu de drague et je dois dire qu'un de mes compatriotes travaillait pas mal fort dans les coins, pas mal plus fort que pendant la partie. Pauvre fille, elle ne savait plus quoi faire; surtout qu'il insistait pour qu'ils prennent le métro ensemble (même ligne, mais pas le même arrêt). C'est là que je suis arrivé à la rescousse, je vais aller vous porter, oubliez le métro. Je sais, je sais, quelle âme charitable.
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